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Biographie

Bienvenue dans l'univers du collage de Liane Mathes Rabbath, dont l'œuvre éblouissante s'inscrit dans la nouvelle génération des peintres libanais. Tout n'y est que couleur, symétrie et fantaisie. Et puis il y a la géométrie captivante des formes, les couleurs chatoyantes et la précision du geste, garantissant l'enchantement total. Ses collages résolument énergiques débordent de lumières, d'imagination et de liberté. Ils évoquent à la fois réminiscence et modernité orientales, toujours un brin ludique, et s'articulent autour d'un matériau unique: le papier de Damas calligraphié. Ce sont de petits bouts de rêves et de sentiments que l'artiste découpe, roule, plie, enchevêtre, et façonne en arabesques baroques. Quant à la rigueur du travail et le sens aigu du détail, ils traduisent la passion de l'artiste avec une ferveur qui nous émeut. Tout est remarquablement pensé, travaillé, réfléchi: Des reliefs architecturaux qui se manifestent par abstractions géométriques, aux couleurs et lumières dans lesquels baignent ses compositions.


 

Qui est Liane Mathes Rabbath? Peintre autodidacte? Collagiste par vocation? Le parcours de cette artiste n'a pas été des plus traditionnels.

Pour Liane Mathes Rabbath, luxembourgeoise de naissance, libanaise de cœur depuis plus de 20 ans, l’art et la création n’ont pas de secret. « Offrir et s’offrir de purs moments de plaisir à travers chacune de ses créations», seront les leitmotivs de cette artiste qui a trouvé dans l’art, un mode d’expression qui convient parfaitement à sa sensibilité tournée vers les autres. Et la peinture sera une passion qui modèlera et l’accompagnera tout au long de sa vie.

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C’est auprès de Tania Bakalian Safiedine ( Tanbak) qu’elle découvre son engouement pour le collage, technique qui lui « collera » à la peau. Dans les années 2000, elle tombe sous le charme du papier de Damas, un papier cigarette fin et satiné, qui sert à envelopper les cigarettes, riche en motifs et arabesques calligraphiques très géométriques. Elle apprivoise cette matière, qui règnera en maître absolu dans toutes ses œuvres. Et sous ses doigts d’artiste,  le papier se transforme, se façonne au gré de ses envies et son imagination. Tantôt roulé, tantôt appliqué, elle l’apposera et l’alignera au millimètre près, pour composer des tableaux, aux magnifiques formes géométriques, alignées au millimètre près, qui attirent et subjuguent le regard. Cette matière si sensible, et si délicate au tout début, prendra un aspect qui inspire solidité et même rigidité. Elle ajoutera délibérément, à la rigueur de l’arabesque, une touche de peinture à l'huile ou à l’acrylique de couleur vive, donnant à ses toiles des reflets vifs et changeants, créant ainsi une superbe explosion chromatique. Et quand elle ne roule pas son papier, elle le débite en lanières, le cisèle en rondelles,  le plisse en éventails, le façonne en grillages ou moucharabiés, en effets de plein et de vide, en cadres dans le cadre, en rosaces occidentales ou «â€¯chasés »  orientales.

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Parfois, excédée de son propre instinct d’ordre, elle donne libre cours à son instinct de désordre, et déverse en vrac ses « cigarettes »sur la planche. « Lorsque l’on créé, la liberté d’expression ne connait pas de limites. C’est le seul endroit où l’on peut s’exprimer et se lancer, sans craintes, ni barrières, précise l’artiste en présentant les différentes techniques qu’elle a explorées au fil de son évolution. Ainsi elle utilisera la méthode de « dripping », qui consiste à recouvrir ses tubes de papier à cigarettes, de peinture. En 2016, suivra la période ‘Artybubbles’:elle développera une technique dans laquelle elle travaille cette fois-ci le papier à rouler les cigarettes extrêmement fin, et blanc. Le papier est tout d’abord découpé, roulé, puis peint et roulé à nouveau en cercles de différentes dimensions pour constituer des tableaux pouvant aller  jusqu’à 1.5 mètres.

 

Ses tableaux évoquent la fête, le rêve, où explosent des bulles éclatantes de vie et d’énergie aux couleurs vibrantes et aux motifs cylindriques d’aspect cosmique et astral. Et puis elle pousse plus loin sa passion pour la peinture et introduira dans son travail la feuille d'or, malgré l'extrême fragilité que présente ce matériau. Ses œuvres seront alors travaillées sur une base de papier torsadé en cordes, puis retravaillées avec des feuilles d’or après le collage sur la toile. 

Cette artiste qui navigue entre les couleurs de son pays d’adoption le Liban et la palette de son pays natal, le Luxembourg, continue sa recherche dans cette voie qui a nourri son inspiration et a comblé sa soif du beau et de la création.

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Bienvenue dans l'univers du collage de Liane Mathes Rabbath, dont l'œuvre éblouissante s'inscrit dans la nouvelle génération des peintres libanais. Tout n'y est que couleur, symétrie et fantaisie. Et puis il y a la géométrie captivante des formes, les couleurs chatoyantes et la précision du geste, garantissant l'enchantement total. Ses collages résolument énergiques débordent de lumières, d'imagination et de liberté. Ils évoquent à la fois réminiscence et modernité orientales, toujours un brin ludique, et s'articulent autour d'un matériau unique: le papier de Damas calligraphié. Ce sont de petits bouts de rêves et de sentiments que l'artiste découpe, roule, plie, enchevêtre, et façonne en arabesques baroques. Quant à la rigueur du travail et le sens aigu du détail, ils traduisent la passion de l'artiste avec une ferveur qui nous émeut. Tout est remarquablement pensé, travaillé, réfléchi: Des reliefs architecturaux qui se manifestent par abstractions géométriques, aux couleurs et lumières dans lesquels baignent ses compositions.


 

Qui est Liane Mathes Rabbath? Peintre autodidacte? Collagiste par vocation? Le parcours de cette artiste n'a pas été des plus traditionnels.

Pour Liane Mathes Rabbath, luxembourgeoise de naissance, libanaise de cœur depuis plus de 20 ans, l’art et la création n’ont pas de secret. « Offrir et s’offrir de purs moments de plaisir à travers chacune de ses créations», seront les leitmotivs de cette artiste qui a trouvé dans l’art, un mode d’expression qui convient parfaitement à sa sensibilité tournée vers les autres. Et la peinture sera une passion qui modèlera et l’accompagnera tout au long de sa vie.

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C’est auprès de Tania Bakalian Safiedine ( Tanbak) qu’elle découvre son engouement pour le collage, technique qui lui « collera » à la peau. Dans les années 2000, elle tombe sous le charme du papier de Damas, un papier cigarette fin et satiné, qui sert à envelopper les cigarettes, riche en motifs et arabesques calligraphiques très géométriques. Elle apprivoise cette matière, qui règnera en maître absolu dans toutes ses œuvres. Et sous ses doigts d’artiste,  le papier se transforme, se façonne au gré de ses envies et son imagination. Tantôt roulé, tantôt appliqué, elle l’apposera et l’alignera au millimètre près, pour composer des tableaux, aux magnifiques formes géométriques, alignées au millimètre près, qui attirent et subjuguent le regard. Cette matière si sensible, et si délicate au tout début, prendra un aspect qui inspire solidité et même rigidité. Elle ajoutera délibérément, à la rigueur de l’arabesque, une touche de peinture à l'huile ou à l’acrylique de couleur vive, donnant à ses toiles des reflets vifs et changeants, créant ainsi une superbe explosion chromatique. Et quand elle ne roule pas son papier, elle le débite en lanières, le cisèle en rondelles,  le plisse en éventails, le façonne en grillages ou moucharabiés, en effets de plein et de vide, en cadres dans le cadre, en rosaces occidentales ou «â€¯chasés »  orientales.

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Parfois, excédée de son propre instinct d’ordre, elle donne libre cours à son instinct de désordre, et déverse en vrac ses « cigarettes »sur la planche. « Lorsque l’on créé, la liberté d’expression ne connait pas de limites. C’est le seul endroit où l’on peut s’exprimer et se lancer, sans craintes, ni barrières, précise l’artiste en présentant les différentes techniques qu’elle a explorées au fil de son évolution. Ainsi elle utilisera la méthode de « dripping », qui consiste à recouvrir ses tubes de papier à cigarettes, de peinture. En 2016, suivra la période ‘Artybubbles’:elle développera une technique dans laquelle elle travaille cette fois-ci le papier à rouler les cigarettes extrêmement fin, et blanc. Le papier est tout d’abord découpé, roulé, puis peint et roulé à nouveau en cercles de différentes dimensions pour constituer des tableaux pouvant aller  jusqu’à 1.5 mètres.

 

Ses tableaux évoquent la fête, le rêve, où explosent des bulles éclatantes de vie et d’énergie aux couleurs vibrantes et aux motifs cylindriques d’aspect cosmique et astral. Et puis elle pousse plus loin sa passion pour la peinture et introduira dans son travail la feuille d'or, malgré l'extrême fragilité que présente ce matériau. Ses œuvres seront alors travaillées sur une base de papier torsadé en cordes, puis retravaillées avec des feuilles d’or après le collage sur la toile. 

Cette artiste qui navigue entre les couleurs de son pays d’adoption le Liban et la palette de son pays natal, le Luxembourg, continue sa recherche dans cette voie qui a nourri son inspiration et a comblé sa soif du beau et de la création.

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